Depuis que j’ai lu « la société de défiance », de Algan et Cahuc, je note en permanence des illustrations de leur thèse dans mon quotidien.
La circulation du métro étant perturbée le jour de Noël, j’entends deux hommes commenter les événements dans ma rame. L’un d’entre eux fait allusion à la réforme en cours de régimes spéciaux puis explique qu’elle ne s’applique ni aux députés, ni aux sénateurs, ni aux militaires.
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