Un blog pour parler de la politique, d'économie, de social, à partir de l'actualité, de mes lectures, de mes rencontres. Vos commentaires sont les bienvenus
La loi sur
la représentativité pourrait donner aux entreprises la liberté de négocier un
contingent d’heures supplémentaires supérieur à celui prévu par leur branche.
Voilà un cas intéressant pour reposer la question de « clause plus
favorable ».
La jeune étudiante dont le mariage a été annulé a une chance de pouvoir réaliser son rêve : reprendre la vie commune avec le goujat qui n’a pas voulu d’elle lors de leur nuit de noces. Et tout cela grâce à la pression médiatique et à l’indignation unanime des politiques de tous bords
Une nuit de
noces qui tourne mal, un jugement d’annulation de mariage, un déchaînement
médiatique, trois étapes pour une affaire dont les relents de scandale, de
sexe, et de religion attirent les curieux. Mais au fait, de ces trois étapes,
laquelle est la plus scandaleuse ?
Le nombre
très élevé de commentaires sur les articles d’Eolas et Jules concernant une
annulation de mariage à Lille, montre à quel point la décision évoquée touche
des thèmes sensibles chez nos concitoyens. Au-delà de la question de l’Islam
(sujet sensible s’il en est), c’est celle du mariage que je voudrais aborder
ici avec le sentiment que l’institution du mariage ne renvoie plus à des
conceptionspartagées dans notre pays.
François
Chérèque et Bernard Thibaut ont fait valoir cette semaine leur mécontentement
sur la façon dont le gouvernement s’apprête à légiférer sur le temps de
travail, en des termes qui montrent que celui-ci a touché un point extrêmement
sensible du dialogue social.
Nicolas
Sarkozy veut maintenant développer l’intéressement dans les entreprises, quitte
pour cela à manier la carotte (les incitations fiscales) et le bâton (une
modulation des aides aux bas salaires). Au-delà des risques pour l’URSSAF, il n’est
pas sur que cette mesure convienne aux salariés les plus modestes ni à leurs
patron
Si les
seniors perdent souvent leur emploi avant 60 ans, le fait est que les
entreprises ne se précipitent pas pour les embaucher, sauf exception. Une enquête
de l’ANDCP a ainsi montré que les recrutements de seniors sont rares. Pour des
raisons fortement ancrées dans le système français, donc difficiles à changer.
Il manquait à ma série une proposition concrète et précise
d’une politique de rémunération des professeurs, plus conforme à l’évolution réelle
de leur valeur: la voici donc! Je vais partir d’une solution possible et les
variantes envisageables pour exposer les principaux problèmes à résoudre. Bien
entendu, la réflexion est ici faite sur les professeurs mais pourrait être
semblable pour la plupart des professions
Quatrième et dernier article de la série, je vais enfin aborder
la question promise: comment mesurer et reconnaître la valeur (ou le mérite)
des professeurs? Soulignons tout de suite qu'il ne s'agit pas d'estimer une
valeur en soi mais une réponse à un besoin (celui des jeunes à former). En
particulier, le fait d'être le plus savant dans sa discipline n'est sans doute
pas le seul critère de valeur. On ne peut parler de valeur des professeurs sans
parler des élèves et de leurs besoins.
Dans sa volonté d’augmenter à 41 ans la durée de
cotisations pour la retraite, le gouvernement se heurte à une réalité
incontournable: beaucoup de seniors se retrouvent sans travail avant d’avoir
atteint les 40 années de cotisations. Il parait donc logique de permettre à
chacun d’effectivement travailler pendant 40 ans avant de demander de prolonger
jusqu’à 41 ans!
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