La jeune étudiante dont le mariage a été annulé a une chance de pouvoir réaliser son rêve : reprendre la vie commune avec le goujat qui n’a pas voulu d’elle lors de leur nuit de noces. Et tout cela grâce à la pression médiatique et à l’indignation unanime des politiques de tous bords
Eolas nous signale que la Chancellerie a demandé au parquet de faire appel de la décision du tribunal de Lille. On imagine la joie de la jeune femme dont le mariage avait été annulé.
En effet, au lieu de devoir laisser derrière elle cette sombre histoire pour se construire un avenir et espérer rencontrer un garçon qui lui plaise, elle aura la chance de voir sa situation rester dans l’incertitude du nouveau procès. Dans un an, si l’indignation de l’opinion publique est écoutée par les juges, elle pourra de nouveau annoncer fièrement qu’elle est officiellement mariée. Peut être même aura-t-elle la chance de commencer une nouvelle vie avec le personnage qui n’a pas voulu d’elle mais qui aura vu la lumière grâce aux commentaires des médias.
Il est malheureusement possible (vous avez dit probable ?) que cette voie heureuse ne se réalise pas et que le marié demande le divorce en arguant de l’absence de cohabitation depuis deux ans. Comme il sera difficile de tordre la loi au point de lui refuser cette rupture, cette jeune fille devra se contenter d’accepter ce divorce imposé par son époux (ce qui n’a bien sûr plus rien à voir avec une répudiation ) et de la chance d’avoir été l’icône de la liberté pendant plusieurs années. Ensuite, elle bénéficiera du beau statut de femme divorcée, ce qui vous classe beaucoup plus que celui de célibataire.
Oui, il est certain que cette femme qui ne devait pas arrêter de pleurer depuis ce jugement infâme à retrouvé le sourire. Et c’est à tous les médias indignés, aux commentaires des lecteurs allant dans le même sens qu’elle le doit.
Elle peut vraiment dire « merci » !
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