Verel

Positivons!

C’est en gros ce que propose Alain de Vulpian à l’occasion d’une discussion entre quelques amis, cherchant à se convaincre mutuellement de voter qui pour Ségolène, qui pour Sarkozy, avec parfois des arguments montant en épingle les risques du vote d’en face.

Je lui laisse la parole :

Le débat a eu lieu

Il a d’abord permis à chacun des candidats de présenter aux français leur programme. Et peut être aux indécis de faire leur choix. Il a sans doute été aussi assez révélateur des personnalités de chacun.

François Bayrou en solitaire

Comme la logique électorale permettait de le prévoir, les députés UDF sont en train de rallier Nicolas Sarkozy chacun leur tour. Ce qui est plus inattendu, ce sont les commentaires que faisait Nicolas Perruchot (le « tombeur » de Jack Lang à Blois) sur la manière dont François Bayrou ne discute pas au sein de son parti.

Qui a gagné?

12 candidats, 12 ambitions pour ce premier tour, pas forcément pour être au second  tour. Si la démocratie est une grande gagnante de ce premier tour à très forte participation, parmi les 12 candidats, qui a gagné, qui a perdu ?

Victoire à la Pyrrhus pour Bayrou ?

Le score atteint par François Bayrou, passé de 6.94 à 18.55% des voix, fait de lui un des grands vainqueurs de ce premier tour. Sur quoi débouchera ce succès? Une transformation durable du paysage politique français ou une simple victoire à la Pyrrhus? Et que peut faire le candidat de l’UDF de sa victoire.

Soirée électorale à la République des blogs

Ambiance particulière pour cette 9^ème édition. Il fait bon et certains sont en terrasse. D’autres sont devant leur ordinateur et font du « live », Versac ayant tout organisé pour que cela soit possible. C’est beaucoup moins bruyant que d’habitude, malgré les deux postes branché sur TF1, qui sont par moments le centre de l’attention.

Réponse à Versac

Mon ami Versac explique qu’il va profiter des 10 derniers jours avant le premier tour pour comparer les candidats sur 10 sujets. Comme je pars en vacances, j’ai décidé de lui répondre par anticipation.

Réponse à Verel

Dans un billet du 23 mars, je m’interrogeais sur le vote Sarkozy et j’expliquais pourquoi je n’avais pas envie de voter pour ce candidat. Je voudrais donc expliquer pourquoi je suis prêt à surmonter les raisons que j’avais exposées à l’époque. Je précise qu’à l’époque je m’orientais déjà en moi-même vers le choix que j’ai exposé cette semaine.

L'heure des choix

J’ai expliqué fin janvier que je ne savais pas pour qui voter et qu’aucun candidat n’emportait mon adhésion. Je sais bien n e pas être seul dans ce cas ! L’examen successif des candidatures de François Bayrou, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal a confirmé mon point de vue : aucun ne suscite réellement mon adhésion. Il faut pourtant choisir. Je l’ai fait déjà il y a quelques semaines et je veux m’en expliquer ici.

L’insoluble équation du vote Bayrou

Les derniers sondages confirment pour l’instant François Bayrou dans sa place de troisième : il n’arrive pas à rejoindre Ségolène Royal comme ses plus chauds partisans l’espéraient et il ne semble pas décrocher comme d’autres le prédisaient. Il reste encore douze ou treize longs jours aux électeurs pour changer d’avis, mais nous pouvons réfléchir sur cette hypothèse.