Le nouveau premier ministre grec issu de la gauche dite radicale veut renégocier la dette publique de son pays, essentiellement détenue par le FMI ou les institutions européennes, pour financer une relance de type keynésienne. Le fait que le pays a réussi à atteindre un excédent primaire, c’est-à-dire avant paiement des intérêts, lui donne les moyens politiques de sa posture dans la négociation.
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