On croyait le populisme délirant réservé aux candidats des extrêmes, Mélenchon et Le Pen par exemple, et voilà que les concurrents qui sont supposés disputer le deuxième tour s’y mette, le président sortant le premier, ce qui n’étonne qu’à moitié, et le favori des sondages ensuite, ce qui surprend plus.
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